UN MOUVEMENT LITTERAIRE ET CULTUREL
Humanisme
RABELAIS F., Gargantua et Pantagruel (chez Casterman, il existe une traduction abrégée en français contemporain de Guy Demerson).
SINOUE G., L’Enfant de Bruges.
Roman qui nous plonge dans le siècle humaniste à Bruges et à Florence. Livre volumineux qui peut rebuter certains élèves.
SINOUE G., Le Livre de saphir.
Roman
passionnant qui tient le lecteur en haleine et entretient savamment le
suspens. Quelques réserves cependant : le livre est volumineux (plus de
500 pages), ce qui peut décourager de petits lecteurs, et le final est
un peu décevant.
Lumières
BEAUMARCHAIS, Le Barbier de Séville ; Le Mariage de Figaro.
CALVINO I., Le Baron perché.
KUNDERA M., Jacques et son maître.
La
pièce déroute les élèves qui se demandent souvent « ce que cela veut
dire ». C’est pourquoi sa lecture est intéressante (pour préparer
l’étude de Jacques le Fataliste par exemple) mais demande des éclaircissements.
MONTESQUIEU, Les Lettres persanes.
La
lecture de l’œuvre pose les difficultés liées aux changements de
narrateur (problème typique du roman épistolaire). Il est souhaitable
d’accompagner la lecture des élèves non seulement pour la présentation
des personnages mais aussi pour les thèmes abordés (dimension
argumentative).
SÜSKIND P., Le Parfum.
Le
roman plaisait beaucoup aux élèves à l’époque de sa sortie, peut-être
un peu moins depuis quelques années, car ils n’apprécient pas toujours
la virtuosité stylistique (notamment la première page). Au demeurant, la
lecture se fait sans difficulté particulière.
SWIFT J., Les Voyages de Gulliver.
VOLTAIRE, Candide ; Jeannot et Colin ; Le Monde comme il va ; Micromégas ; Zadig ; L’Ingénu.
NB :
Les élèves éprouvent de la difficulté à la lecture de cette dernière
œuvre, qui requiert de nombreuses connaissances sur le fonctionnement du
clergé, l’histoire du catholicisme, domaines souvent inconnus des
lycéens.
LE THEATRE
ANOUILH J., Antigone.
BEAUMARCHAIS, Le Barbier de Séville ; Le Mariage de Figaro.
BECKETT S., En attendant Godot ; Fin de partie.
BRECHT B., L’Opéra de quat’sous ; La Résistible ascension d’Arturo Ui ; Grand peur et misère du IIIe Reich.
Ces deux dernières pièces traitent de la montée du nazisme.
CORNEILLE P., Le Cid ; Horace.
DIDEROT D., Paradoxe sur le comédien.
GENET J., Les Bonnes.
GIRAUDOUX J., Electre ; La Guerre de Troie n’aura pas lieu.
HUGO V., Ruy Blas ; Hernani.
IONESCO E., Le Roi se meurt ; Rhinocéros ; La Cantatrice chauve ; La Leçon.
KUNDERA M., Jacques et son maître.
La
pièce déroute les élèves qui se demandent souvent « ce que cela veut
dire ». C’est pourquoi sa lecture est intéressante (pour préparer
l’étude de Jacques le Fataliste par exemple) mais demande des éclaircissements.
MARIVAUX, Le Jeu de l’amour et du hasard ; La Double Inconstance ; L’Île des esclaves.
Cette dernière pièce permet de croiser avec l’argumentation et le mouvement littéraire.
MOLIERE, L’Ecole des femmes ; Tartuffe ; Le Misanthrope ; Dom Juan.
Cette
dernière est une pièce « canonique » que les élèves apprécient le plus
souvent ; selon le niveau de la classe, il faut cependant limiter ses
interprétations.
MUSSET (de) A., Lorenzaccio ; On ne badine pas avec l’amour ; Les Caprices de Marianne.
RACINE J., Bérénice ; Britannicus ; Phèdre ; Andromaque.
REZA Y., Art.
La
pièce ne présente guère de difficulté pour des Première. Avec quelques
explications, les élèves sont capables de percevoir ce que cette pièce a
d’universel (là où un lecteur / spectateur naïf a pu n’y voir qu’une
comédie parisienne sur quelques « bobo »).
ROSTAND J., Cyrano de Bergerac.
SARTRE J.-P., Huis clos ; Les Mains sales.
SCHMITT E.-E., Le Visiteur ; La Nuit de Valognes.
La dernière pièce est intéressante pour préparer l’étude de Dom Juan.
SHAKESPEARE W., Hamlet ; Macbeth ; Le Roi Lear ; Le Songe d’une nuit d’été.
TCHEKHOV A., La Cerisaie ; La Mouette.
L’ARGUMENTATION
Apologue
BRADBURY R., Fahrenheit 451.
CALVINO I., Le Vicomte pourfendu ; Le Baron perché.
CAMUS A., La Peste.
GOLDING W., Sa majesté des mouches.
HUGO V., Claude Gueux ; Le Dernier Jour d’un condamné.
Ces
œuvres ne manquent pas d’intérêt, mais font souvent l’objet d’une étude
en Troisième : il convient de s’assurer que les élèves ne les ont pas
déjà lues.
HUXLEY A., Le Meilleur des mondes.
LA FONTAINE (de) J., Fables.
MONTESQUIEU, Les Lettres persanes.
La
lecture de l’œuvre pose les difficultés liées aux changements de
narrateur (problème typique du roman épistolaire). Il est souhaitable
d’accompagner la lecture des élèves non seulement pour la présentation
des personnages mais aussi pour les thèmes abordés (dimension
argumentative).
ORWELL G., La Ferme des animaux ; 1984.
SWIFT J., Les Voyages de Gulliver.
VERCORS, Zoo, ou l’assassin philanthrope.
La
pièce ne comporte pas de difficulté pour des élèves de Première. Il
peut être intéressant de dialoguer avec eux sur les enjeux du meurtre de
Douglas avant qu’ils ne lisent la pièce.
VOLTAIRE, Candide ; Micromégas ; Zadig ; L’Ingénu.
NB :
Les élèves éprouvent de la difficulté à la lecture de cette dernière
œuvre, qui requiert de nombreuses connaissances sur le fonctionnement du
clergé, l’histoire du catholicisme, domaines souvent inconnus des
lycéens.
WILDE O., Le Portrait de Dorian Gray.
YOURCENAR M., Nouvelles orientales, « Comment Wang-Fu fut sauvé ».
Essai, dialogue
BADINTER R., L’Abolition.
JACQUARD A., Trois milliards d’hommes dans un vaisseau, Eloge de la différence, L’Equation du Nénuphar.
PENNAC D., Comme un roman.
Cet
essai lors de sa sortie a beaucoup plu aux élèves. L’intérêt du texte
s’est émoussé au fil des années sans que l’on puisse en donner la cause.
Il semble que ce qui « faisait mouche » il y a dix ans ait du mal à
faire sourire les élèves aujourd’hui.
SAVATER F., Ethique à l’usage de mon fils.
Le
langage simple et souvent plein d’humour de cet essai le rend
particulièrement accessible aux lycéens. Les questions posées et les
réponses apportées sont à la fois essentielles et limpides.
LA POESIE
APOLLINAIRE G., Alcools.
BAUDELAIRE C., Les Fleurs du Mal, section « Spleen et Idéal » ; Le Spleen de Paris.
ELUARD P., Capitale de la douleur.
HUGO V., Les Contemplations.
JACCOTTET P., L’Effraie.
PREVERT J., Paroles.
RIMBAUD A., Illuminations ; Le Cahier de Douai.
Ces derniers poèmes constituent un ensemble tout à fait accessible pour les élèves, même en lecture autonome.
VERLAINE P., Romances sans Paroles ; Fêtes galantes.
Lire
aussi, dans une anthologie, des poèmes de RONSARD, LA FONTAINE,
LAMARTINE, VIGNY, MUSSET, MALLARME, ARAGON, BRETON, SUPERVIELLE, CHAR,
DESNOS, QUENEAU, MICHAUX, PONGE...
LE ROMAN
NB : la sélection présentée ici se
limite aux « classiques » français ; pour d’autres suggestions de
lectures romanesques (romans français contemporains, romans étrangers,
policiers...), consulter la fin de cette synthèse, rubrique « Lectures
hors programme, pour la culture et le plaisir ! »
ALAIN-FOURNIER, Le Grand Meaulnes.
ARAGON L., Aurélien.
BALZAC (de) H., Le Colonel Chabert ; La Peau de Chagrin ; Le Lys dans la vallée ; Le Père Goriot ; La Peau de chagrin.
BEROUL T., Tristan et Iseult.
BRETON A., Nadja.
CAMUS A., L’Etranger ; La Peste.
CELINE L.-F., Voyage au bout de la nuit.
COHEN A., Belle du seigneur.
DUMAS A. (fils), La Dame aux camélias.
DUMAS A., Le Comte de Monte Cristo ; Pauline ; Les Trois mousquetaires.
FLAUBERT G., Madame Bovary ; L’Education sentimentale.
GARY R., La Vie devant soi.
GIDE A., Les Faux-monnayeurs ; La Symphonie pastorale.
GIONO J., Un roi sans divertissement ; Le Hussard sur le toit ; Regain.
HUGO V., Notre Dame de Paris ; Les Misérables.
LA FAYETTE, La Princesse de Clèves.
LACLOS, Les Liaisons dangereuses.
Un
accompagnement des élèves dans la lecture de ce roman semble tout à
fait souhaitable. La complexité de l’intrigue et le niveau de langue
sont pour une part dans les difficultés mais ce sont sans doute la forme
épistolaire et les constants changements de narrateur qui créent une
confusion. Il suffit bien souvent de faire une présentation en classe
des protagonistes pour aplanir les difficultés.
MALRAUX A., La Condition humaine.
MAUPASSANT (de) G., Pierre et Jean ; Bel ami ; Une vie.
PEREC G., La Vie mode d’emploi (pour bons lecteurs) ; Les Choses.
PREVOST, Manon Lescaut.
PROUST M., Un amour de Swann.
QUENEAU R., Zazie dans le métro ; Loin de Rueil.
RABELAIS F., Gargantua ; Pantagruel.
RADIGUET R., Le Diable au corps.
SAND G., Indiana.
STENDHAL, Le Rouge et le Noir ; La Chartreuse de Parme.
VIAN B., L’Ecume des jours.
Les
avis des élèves sont assez tranchés concernant ce roman. Pour certains,
c’est un enchantement tandis que pour d’autres (une majorité ?) le
livre ne présente pas d’intérêt.
ZOLA E., L’Assommoir ; La Bête humaine ; Germinal ; Au Bonheur des dames ; Nana.
L’AUTOBIOGRAPHIE (PREMIERE L)
BEAUVOIR (de) S., Mémoires d’une jeune fille rangée.
CASTILLO (del) M., Tanguy.
CHAMOISEAU P., Antan d’enfance.
Récit
autobiographique de la prime enfance d’un négrillon antillais ;
intéressant surtout pour des élèves à même d’en reconnaître ou d’en
partager les expériences. La lecture en est parfois difficile à cause de
mots empruntés au créole ou de phrases directement traduites de cette
langue et qui ne sont intelligibles que si l’on a en tête l’original ou
si l’on est capable de les interpréter.
COHEN A., Le livre de ma mère.
COLETTE, La Maison de Claudine.
DUPEREY A., Le Voile noir.
DURAS M., Un Barrage contre le Pacifique ; L’Amant.
Pas de difficulté particulière dans la lecture du Barrage.
Ce peut être une manière intéressante d’amorcer l’œuvre de Duras dans
la mesure où le style reste somme toute assez classique. En revanche, le
style de L’Amant peut se révéler déroutant pour certains élèves. En général, l’œuvre plaît beaucoup ou pas du tout.
ERNAUX A., Une femme ; La Place.
Cette
dernière œuvre est délicate : parfois, des élèves qui viennent de
milieux semblables à celui d’Ernaux réagissent mal à ce qu’elle écrit.
Mais elle est aussi passionnante à étudier, et plaît parfois beaucoup
(peut-être davantage aux filles ?). Il peut être intéressant de lancer
la lecture avec les élèves, par exemple par l’étude de la première page,
en réfléchissant aux choix d’écriture. Ensuite, l’œuvre permet
d’aborder les problèmes de langage et de culture, de la famille et de
l’identité... et suscite de nombreux débats. NB : Annie Ernaux avait
publié un papier dans Le Monde à la mort de Bourdieu qu’il est intéressant de faire lire.
GARY R., La Promesse de l’aube.
JULIET C., Lambeaux ; L’Année de l’éveil.
LEVI P., Si c’est un homme ; La Trève.
MODIANO P., Dora Bruder.
NOTHOMB A., Stupeur et tremblement ; Métaphysique des tubes.
PEREC G., W ou Souvenir d’enfance.
ROUSSEAU J.-J., Les Confessions, livres I à IV.
SARRAUTE N., Enfance.
SARTRE J.-P., Les Mots.
L’œuvre
pose souvent problème en classe. Il semble que les élèves éprouvent
bien peu de sympathie pour l’auteur et cette inimitié tend fréquemment à
les décourager dans leur lecture.
SEMPRUN J., L’Ecriture ou la vie.
VALLES J, L’Enfant.
LES REECRITURES (PREMIERE L)
Antigone de SOPHOCLE, J. COCTEAU, J. ANOUILH, H. BAUCHAU.
Dom Juan de T. de MOLINA, MOLIERE, SCHMITT.
LECTURES HORS PROGRAMME, POUR LA CULTURE ET LE PLAISIR !
Quelques romans français contemporains
BARJAVEL R., La Nuit des temps ; Le Grand Secret.
BEN JELLOUN T., L’enfant de sable (tiré d’un fait divers authentique).
CAGNATI I., Génie la folle.
CARRERE E., L’Adversaire.
CHEDID A., Le Sixième Jour (récit poétique).
CLAUDEL P., Les Âmes grises.
DUGAIN M., La Chambre des officiers (guerre de 14-18).
ECO U., Le Nom de la rose.
Une
œuvre conséquente à ne conseiller qu’aux bons lecteurs. Le succès du
film constitue souvent une incitation à la lecture, mais il est
nécessaire d’avertir les élèves que le roman n’est pas centré
exclusivement sur l’intrigue policière.
ETCHERELLI C., Elise ou la vraie vie.
GAUDE L., La Mort du roi Tsongor.
JAPRISOT S., Un long dimanche de fiançailles.
JONQUET T., La Vie de ma mère.
LABRO P., Quinze ans (récit de vie).
MANET E., L’île du lézard vert.
MERLE R., Fortune de France (saga historique) ; La Mort est mon métier.
PEYRAMAURE M., L’Orange de Noël.
QUEFFELEC Y., Les Noces barbares.
RAMBAUD P., La Bataille (épopée napoléonienne).
Romans étrangers
AUSTEN J., Orgueil et préjugés.
AUSTER P., La Musique du hasard ; Monsieur Vertigo.
BARRICO A., Soie ; Océan mer.
BRINK A., Une saison blanche et sèche.
BRONTE C., Jane Eyre.
CALVINO I., Le Baron perché ; Le Vicomte pourfendu.
CHEVALIER T., La Jeune Fille à la perle.
CONRAD J., Typhon (récit maritime.
DICKENS C., Notre ami commun (parfois traduit L’Ami commun).
DOSTOÏEVSKI F., Le Joueur ; L’Idiot (pour un très bon lecteur).
GARCIA MARQUEZ G., Cent ans de solitude ; Chronique d’une mort annoncée.
HEMINGWAY E., Pour qui sonne le glas.
KAFKA F., La Métamorphose.
KOUROUMA A., Allah n’est pas obligé.
KUNDERA M., La Plaisanterie.
LONDON J., Martin Eden.
Le récit touche généralement les élèves et ne comporte guère de difficulté si ce n’est sa longueur.
MAKINE A., La Musique d’une vie ; Le Testament français.
NASREEN T., L’Alternative.
POE E. A., Les Aventures d’Arthur Gordon Pym.
SCHLINK B., Le Liseur.
SHAN SA, La Joueuse de go.
SHELLEY M., Frankenstein.
SOLJENITSYNE A., Une journée d’Ivan Denissovitch.
STEINBECK J., Des Souris et des hommes ; Tortilla flat ; Les Raisins de la colère.
Ce
dernier roman ne présente pas de difficulté particulière si ce n’est sa
longueur ; on peut apporter quelques précisions sur les circonstances
historiques du récit.
STEVENSON R. L., L’Île au trésor ; Docteur Jeckyll et Mr. Hyde.
STYRON W., Le Choix de Sophie.
TOLSTOÏ L., Anna Karenine.
WERFEL F., Une écriture bleu pâle.
Nouvelles et autres récits brefs
AYME M., Le Passe muraille.
BORGES J.-L., Fictions.
BUZATTI D., Le K.
FLAUBERT G., Trois contes.
HOFFMANN E. T. A., L’Etrange histoire de Peter Schlehmil.
KAFKA F., La Métamorphose.
MAUPASSANT (de) G., Nouvelles.
MERIMEE P., Mateo Falcone.
TAYLOR K., Inconnu à cette adresse.
L’œuvre
ne manque pas d’intérêt mais celle-ci faisant souvent l’objet d’une
étude en Troisième, il convient de s’assurer que les élèves ne l’ont pas
déjà lue.
VERCORS, Le Silence de la mer.
VILLIERS DE L’ISLE ADAM J., nouvelles fantastiques.
ZWEIG S., Le Joueur d’échecs ; Vingt-quatre heures de la vie d’une femme.
Généralement les nouvelles de Zweig plaisent beaucoup aux élèves.
Romans policiers
CHRISTIE A., Le Meurtre de Roger Ackroyd.
DAENINCKX D., La Mort n’oublie personne ; Meurtres pour mémoire.
JONQUET T., Les Orpailleurs ; Moloch ; La Bête et la belle.
PENNAC D., Au Bonheur des ogres ; La Fée Carabine ; La Petite Marchande de prose.
Une
trilogie qu’il est bien difficile de départager, mêlant policier et
humour. Les élèves apprécient souvent la langue crue et imagée de
Pennac. L’intrigue semble annexe à leurs yeux. Les romans qui ont fait
suite à La petite marchande de prose sont à réserver aux inconditionnels.
PERRY A., A l’ombre de la guillotine.
SIMENON G., Le Chien jaune ; L’Inconnu dans la maison.
VARGAS F., Pars vite et reviens tard.
Romans fantastiques et de science-fiction
ASIMOV I., Quand les ténèbres viendront.
EDDINGS D., La Belgariade et La Mallorée.
Ces deux histoires comportent chacune cinq volumes.
Des séries d’heroïc fantasy d’une qualité hors du commun : l’histoire n’est pas très inventive (proche du Seigneur des anneaux), mais les personnages sont géniaux.
MAC CAFFREY A., Le Vol du dragon ; La Quête du dragon ; Le Dragon blanc.
Ce sont les trois premiers tomes de La Ballade de Pern, série d’heroïc fantasy.
STOCKER B., Dracula.
STURGEON T., Cristal qui songe.