textes en lecture analytique : Vercors, Zoo ou l'Assassin philanthrope

Texte 1 : 

Acte I, tableau 1

DOUGLAS. Vous ne m’avez pas compris, docteur. Je l’ai piqué avec une forte dose de chlorhydrate de strychnine.
FIGGINS (reculant, il renverse une chaise). Quoi ?… Mais… Mais… c’est un meurtre !
DOUGLAS. N’en doutez pas.
FIGGINS (bégayant d’émotion). Mais vous… mais mais pourquoi… mais mais comment…
DOUGLAS. Je m’en expliquerai devant les Juges. Pour le moment, veuillez simplement faire le constat, docteur.
FIGGINS (avec agitation). Il faut prévenir la police.
DOUGLAS. C’est déjà fait, docteur.
FIGGINS (même jeu). La prévenir tout de suite Où est le téléphone ? Comment ? Qu’est-ce qui est déjà fait ?
DOUGLAS. J’attends un inspecteur d’un instant à l’autre.
FIGGINS (méfiant). Je vais l’appeler quand même, si vous permettez.
DOUGLAS. Mais bien sûr, docteur. Par ici. (Sonnerie. Figgins s’immobilise. Douglas va à la rencontre du visiteur qui entre.) L’inspecteur Mimms, sans doute.
MIMMS. Du district de Gildford, oui, monsieur.
DOUGLAS. Merci pour votre diligence, inspecteur.
MIMMS. Du tout… Ravi de vous connaître, monsieur Templemore, et de pouvoir vous rendre service. Je lis souvent vos articles dans le Times.
FIGGINS (d’une voix sifflante). Et c’est un journaliste par-dessus le marché !
MIMMS (se retournant). Oh, bonjour, docteur. C’est rare de vous voir si tôt levé. (A Douglas.) Qu’est-ce qui se passe ? On vous a cambriolé ?
FIGGINS. Cambriolé mon œil ! C’est un infanticide, inspecteur ! Cet homme a tué son enfant !
MIMMS. Vous, monsieur… ?! (Douglas acquiesce de la tête. Au docteur.) Infanticide… Vous en êtes certain ?
FIGGINS (imitant une piqûre). Tué comme un chien. Strychnine.
MIMMS (désorienté. A Douglas). Est-ce possible ! Vraiment, monsieur Templemore, je ne sais…il faut donc… oh là là, quelle histoire !
DOUGLAS. Allons, allons, inspecteur, remettez-vous.
MIMMS. Oui, oui… eh bien, dans ce cas… Puis-je voir la victime ? (Douglas le mène au berceau. L’inspecteur se penche.) Vous êtes sûr qu’il est tout à fait mort ? (Figgins lève les bras au ciel, avec une interjection étouffée.) Bon… Bon… (A Douglas.) Et… l’enfant est à vous ?
DOUGLAS. C’est mon fils, inspecteur.
MIMMS. Votre femme est là-haut ?
DOUGLAS. Je ne suis pas marié.
MIMMS. Ah… Mais alors… c’est…
DOUGLAS. Un enfant tout ce qu’il y a de naturel. Enfin, d’une certaine façon.
MIMMS. Alors où est la mère ?
DOUGLAS. Au Zoo.
MIMMS. Pardon ?
DOUGLAS. La mère est au jardin zoologique.
MIMMS. Elle est employée là-bas ?
DOUGLAS. Non, elle est pensionnaire.
MIMMS. Eh ?
DOUGLAS. Quartier des grands anthropoïdes.
MIMMS. Eh ?
DOUGLAS. Section du Paranthropus erectus.
MIMMS. Eh ?
DOUGLAS. Cage numéro 9. Vous la trouverez là. (Médecin et policier échangent un regard et considèrent Douglas, inquiets sur sa santé d’esprit.) Si le docteur veut bien examiner l’enfant d’un peu plus près, il relèvera certainement certaines anomalies remarquables.
Après une seconde d’hésitation, Figgins va au berceau, soulève une couverture et des langes, qu’il rejette.
FIGGINS (froid et furieux). Nom de Dieu.
Il saisit trousse et manteau et va pour sortir. Mimms le retient d’un geste.
MIMMS. Mais qu’est-ce qu’il y a, docteur ?
FIGGINS. Ce n’est pas un garçon, c’est un singe.
Fausse sortie.
DOUGLAS (doucement). En êtes-vous sûr, docteur ?
FIGGINS (très rouge). Comment, si j’en suis sûr… Inspecteur, nous sommes les jouets d’une stupide mystification. Ce damné journaliste nous a tirés du lit à trois heures du matin pour se foutre de nous. Vous ferez ce que vous voudrez, mais moi, je vais me recoucher. Bonsoir.
Fausse sortie.
DOUGLAS (d’un ton sans réplique). Permettez, docteur, une minute. (Il tend un papier à l’inspecteur.) Veuillez lire ceci.
MIMMS (lisant). « Je, soussigné docteur Williams, du Collège royal de gynécologie, déclare avoir ce jour, à 4 heures 30, délivré d’un enfant mâle et en bonne intégrité physique, une femelle pithécoïde de l’espèce Paranthropus erectus, expérimentalement inséminée par mes soins, ainsi que six autres femelles, au Muséum d’histoire naturelle de Sydney (Australie) des œuvres e M. Douglas Templemore, journaliste, habitant présentement Sunset Cottage, Guildford, Surrey, Grande-Bretagne.
Le docteur, effaré, retourne au berceau, examine l’enfant, se retourne sur le père, de nouveau sur le bébé, puis encore sur Douglas.
FIGGINS (sourdement). Jamais entendu parler d’une pareille histoire !… Qu’est-ce que c’est, ce Paranthropus ?
Il prend le certificat des mains de l’inspecteur.
DOUGLAS. Justement, c’est toute la question. Personne encore n’en sait rien.
FIGGINS. Comment, personne n’en sait rien ?
DOUGLAS. Une sorte inconnue d’anthropoïde, récemment découverte en Nouvelle-Guinée. On en a ramené une trentaine. Les professeurs sont à l’étude.
Figgins s’est penché à nouveau sur le bébé.
FIGGINS (avec soulagement). C’est quand même un singe. Il est quadrumane.
DOUGLAS. N’est-ce pas conclure un peu vite ?
FIGGINS. Il n’existe pas d’hommes quadrumanes.
DOUGLAS. Dites que l’on n’en connaissait pas. Jusqu’à présent. Mais supposez, par exemple, qu’un accident de chemin de fer… Tenez, recouvrons-lui les jambes. Un petit mort aux pieds coupés. Seriez-vous aussi catégorique ?
FIGGINS (après un moment). Il a les bras trop longs.
DOUGLAS. Mais le visage ?
FIGGINS (se débattant). Les oreilles sont plantées trop haut.
DOUGLAS. Mais supposez que, dans quelques années, on ait pu lui apprendre à lire, à écrire, à compter…
FIGGINS (haussant les épaules). … à mettre Londres dans une bouteille. Suppositions stupides puisqu’on n’en saura rien…
DOUGLAS. On le saura, docteur.
FIGGINS (sarcastique). Ah ? Et comment ?
DOUGLAS. Il a des frères, docteur.

ORAL 1 : 

Travail d’adaptation (réduction de l’étude à 10 minutes), prise en compte de la question

 

INTRODUCTION :

TB.

 LECTURE :

Bonne lecture.

 Conclusion : tu pourrais te servir de l’un des textes complémentaires de la séquence, ce serait facile !

 

Exposé clair, articulé (on sait que tu en es au II. B, par exemple)

 

Certains éléments pas très clairs : « les enjeux du personnage ». « Les « points de vue du questionnement » : sens ?

Les transitions sont trop brutales : « maintenant nous allons passer à… » : trop artificiel. Toutes tes transitions.

Qualité des remarques (aucune erreur, incompréhension…)

 

Attention à bien citer, c’est-à-dire à bien choisir tes citations. Par exemple, quand tu évoques pour la première fois  le genre policier, tu cites « l’enfant est mort (...)», sans parler des éléments qui constituent typiquement le genre : le meurtre, l’enquêteur, le coupable.

 

Tu cites abondamment le texte, ce qui est un excellent réflexe, mais ton étude manque d’analyses de style, de procédés littéraires.

Aisance à l’oral (pas trop d’hésitations, force de conviction)

 

TB. Très à l’aise, très bon rythme. C’est agréable de t’écouter.

Elocution (articulation, volume…)

 

TB. Quel bon accent ! Et quel excellent niveau de langue !

Expression corporelle (ni trop statique, ni trop expressif, intensité du regard)

 

TB.

Au bac, tu obtiendrais entre 7,5 et 8/10, à cause du manque d’analyses de procédés littéraires. 


ORAL 2 : 

Travail d’adaptation (réduction de l’étude à 10 minutes), prise en compte de la question

 

Introduction : TB. Il manque juste la problématisation (la phrase qui mène à la question posée, et qui fonctionne comme une introduction à cette question).

 

Lecture : excellente.

 

Plan : parfait.

Exposé clair, articulé (on sait que tu en es au II. B, par exemple)

 

    C’est parfaitement clair. Une belle transition.

Qualité des remarques (aucune erreur, incompréhension…)

 

·       Parfaite maîtrise du texte et de son étude. Mais c’est parfois trop lu.

·       Merci, pour « de surcroît », ça fait toujours plaisir à entendre !

·       « Horizon » est un nom masculin.

Aisance à l’oral (pas trop d’hésitations, force de conviction)

 

Parfaite ! Quel rythme ! On prend plaisir à t’écouter. Tu t’exprimes avec élégance.

Elocution (articulation, volume…)

 

Parfaite.

Expression corporelle (ni trop statique, ni trop expressif, intensité du regard)

 

Impeccable.

C’est vraiment excellent. Je vois mal comment tu aurais une note inférieure à 9/10 au bac, avec cette prestation-ci. Pour cet exercice : 19/20. Bravo !


ORAL 3 :

Travail d’adaptation (réduction de l’étude à 10 minutes), prise en compte de la question

 

Introduction :

·       TB

·       Bonne lecture !

·       Attention : « cette scène expose les bases d’un roman policier » : non, d’une pièce. Et ne parle pas de « roman policier », mais d’intrigue policière, car il s’agit d’une pièce de théâtre.

Exposé clair, articulé (on sait que tu en es au II. B, par exemple)

 

    Très clair, mais il manque une transition entre les deux axes.

Qualité des remarques (aucune erreur, incompréhension…)

 

·       TB compréhension du texte.

·       « professionnalisme », pas « professionnalité ».

·       « disculper », pas « exculper ».

·       les « attentes », plutôt que les « expectatives »

 

Aisance à l’oral (pas trop d’hésitations, force de conviction)

 

Parfait.

Elocution (articulation, volume…)

 

Parfait. Quel plaisir de t’écouter !

Expression corporelle (ni trop statique, ni trop expressif, intensité du regard)

 

Parfait.

Un très bon travail. Au bac, tu aurais probablement 8,5 environ.



Texte 2 : lignes 331-441.




LUCIE             VERCORS 2

Travail d’adaptation (réduction de l’étude à 10 minutes), prise en compte de la question

 

10’05 : parfait.

Introduction : TB. Il manque juste la problématisation (la phrase qui mène à la question posée, et qui fonctionne comme une introduction à cette question).

Exposé clair, articulé (on sait que tu en es au II. B, par exemple)

 

    Très clair.

Qualité des remarques (aucune erreur, incompréhension…)

 

·       Excellente maîtrise du texte et des procédés argumentatifs.

·       Je dirais tout de même qu’Eatons, s’il n’est pas vraiment vainqueur dans le sens où sa participation ne fait pas avancer le débat, il n’en reste pas moins que Knaatsch sort disqualifié de cet affrontement qui le pousse à exposer ses thèses racistes.

·       Les « n’est-ce pas ? » ont la fonction que tu leur donnes, mais ils sont aussi une traduction littérale, répétitive et donc comique, des « questions tags » anglais.

·       En ce qui concerne le discours d’Eatons (I.B), il serait bon de parler des élisions (effacements) des voyelles non utilisées à l’oral : « c’te », etc.

Aisance à l’oral (pas trop d’hésitations, force de conviction)

 

Parfaite.

Elocution (articulation, volume…)

 

Parfaite.

Expression corporelle (ni trop statique, ni trop expressif, intensité du regard)

 

Parfaite.

C’est vraiment très bien, à part les quelques petits points soulevés dans le tableau ci-dessus. J’imagine mal comment tu pourrais obtenir, au bac, une note inférieure à 8,5, avec cette prestation. Tu obtiens 18/20 pour cet exercice d’entraînement. 

Texte 3 : 

Acte II, tableau 10

LADY DRAPER. Est-ce que je sais ? Par exemple, tenez, ces tropis, ils n’ont même pas de gris-gris au cou.
DRAPER. Des gris-gris ! Quelle idée ! Est-ce que vous portez des gris-gris, vous ?
LADY DRAPER. Bien sûr je pense que j’en porte. Notre anneau de mariage, par exemple… Et cette broche de Freedham and Peabody. Avez-vous jamais regardé une vitrine de Freedham and Peabody ? N’est-ce pas plein de gris-gris ?
DRAPER (amusé). Oui, ça… je reconnais…
LADY DRAPER (préparant d’autres tartines). Et vous-même, mon ami, votre belle perruque, n’est-ce pas un gri-gri aussi ? (Sir Arthur pose sa cuiller brusquement.) Oh, ce n’est pas pour m’en moquer, mon ami, pas du tout. Chacun a les gris-gris de son âge, je pense. De beaux bijoux, n’est-ce pas ? Ou une auto rapide… Ou l’ordre de la Jarretière. (Elle montre les portraits)… Et les peuples aussi, il me semble. Les plus jeunes, les plus sauvages, leurs gris-gris sont les plus simples, aux autres il faut des gris-gris plus compliqués. Mais tous en ont, je crois. Or, voyez-vous, les tropis n’en ont pas… (Sir Arthur s’est penché en avant. Il écoute sa femme avec surprise, se gratte un peu la tempe, mais ne dit rien.) Il faut bien des gris-gris dès que l’on croit à quelque chose, n’est-ce pas ? Si l’on ne croit à rien… je veux dire : on peut naturellement refuser de croire aux choses admises qu’on vous enseigne à l’école, à l’église, cela n’empêche pas… même les esprits forts, veux-je dire, qui prétendent ne croire ni à Dieu, ni à Diable, nous les voyons chercher, n’est-ce pas ? Mon pauvre père, il aurait voulu être yogi. Il en a lu, le pauvre, des bouquins ! Que de gris-gris ! Toute une bibliothèque. D’autres, c’est la physique, la chimie ou bien l’astronomie, ou bien ils peignent des tableaux, écrivent de la musique… Ce sont leurs gris-gris en somme. C’est leur manière à eux de… de se défendre… contre toutes ces choses incompréhensibles qui nous font tellement peur, quand nous y pensons. Vous voyez ce que je veux dire… la nuit et les fantômes, l’éternité, la mort, est-ce que je sais ? Ce ciel qui n’en finit pas… N’est-ce pas votre avis ? (Arthur acquiesce silencieusement. Elle commence à ranger les tasses, la théière, pour emporter le plateau.) Mais si vraiment on ne croit à rien… si on n’a aucun gri-gri… c’est qu’on ne s’est jamais rien demandé, n’est-ce pas. Jamais. Dès qu’on se demande, n’est-ce pas, il me semble, on a peur. Et dès qu’on a peur… Même, voyez-vous, Arthus, ces pauvres êtres tellement sauvages que nous avons vus à Ceylan l’autre hiver, tellement sauvages et arriérés, qui ne savent rien faire, pas même compter jusqu’à cinq, à peine parler… qui se nourrissent de vers et de vermine… ils ont quand même des gris-gris. C’est donc qu’ils croient à quelque chose. Et s’ils y croient… eh bien, c’est qu’ils se sont demandé… je ne sais pas, ce qu’il y a dans le ciel, ou ailleurs, dans la forêt, les montagnes, la mer… enfin, des choses auxquelles ils pouvaient croire ? vous voyez ? Même ceux-là, ces pauvres brutes, se le sont demandé. Alors, si un être ne se demande rien… mais là vraiment rien, rien du tout, eh bien, je pense qu’il faut vraiment qu’il soit une bête. Vous ne pensez pas ainsi. Même un idiot de village se demande des choses. Mais je bavarde, je bavarde…
Elle est prête à sortir avec le plateau. Sir Arthur se lève, l’embrasse discrètement sur la tempe.
DRAPER. Vous m’avez dit des choses singulières, ma chérie. Elles me feront réfléchir, je crois.

ORAL 1  : 
 

Travail d’adaptation (réduction de l’étude à 10 minutes), prise en compte de la question

 

Introduction :

TB ! Évite juste de citer Hitler comme exemple à suivre, même pour son talent d’orateur…

Lecture : INCROYABLE ! Géniale…

Excellent travail d’adaptation !

L’ouverture est elle aussi très judicieuse.

Exposé clair, articulé (on sait que tu en es au II. B, par exemple)

 

 Tout ce que tu dis est d’une clarté limpide et c’est toujours intelligent.  

Qualité des remarques (aucune erreur, incompréhension…)

 

C’est brillant !

Aisance à l’oral (pas trop d’hésitations, force de conviction)

 

Formidable !!! Quelle énergie !

Elocution (articulation, volume…)

 

Mais d’où tiens-tu cet accent français absolument parfait ?!?

Expression corporelle (ni trop statique, ni trop expressif, intensité du regard)

 

Impeccable.

 

==> Quelle maîtrise ! Quelle fougue ! 10/10 !





ORAL 2 : 



Travail d’adaptation (réduction de l’étude à 10 minutes), prise en compte de la question

 

·       Introduction : B. Résume l’œuvre, tout de même, brièvement, pour l’examinateur. Il manque la problématisation (la phrase qui mène à la question posée, et qui fonctionne comme une introduction à cette question). Ne plaque pas la question telle quelle.

·       Lecture : TB !

·       Tu réponds bien à la question, bon travail d’adaptation.

Exposé clair, articulé (on sait que tu en es au II. B, par exemple)

 

Très clair, bonne utilisation des connecteurs logiques (« en outre », « d’emblée »…), et de bonnes transitions.

Qualité des remarques (aucune erreur, incompréhension…)

 

·       TB maîtrise du texte et de ses enjeux.  

·       Je ne dirais pas que les exemples qu’utilise Lady Draper sont simples, mais qu’ils sont issus de son monde à elle, sans recours au langage scientifique (mais tu le dis plus tard).

·        « ce qui fait qu’elle soit efficace » est un hispanisme : « ce qui la rend plus efficace »

·       Dans la Controverse de Valladolid, il ne s’agit pas d’un procès, mais d’une controverse.

Aisance à l’oral (pas trop d’hésitations, force de conviction)

 

TB, on prend plaisir à t’écouter : c’est dynamique et clair. Et expressif ! Et spontané !

Elocution (articulation, volume…)

 

TB

Expression corporelle (ni trop statique, ni trop expressif, intensité du regard)

 

TB


Avec une pareille prestation, tu aurais sans doute autour de 8,5 ou 9/10. 

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