Réponses : 1. Qu'est-ce qui ne peut être que parfait pour Platon ? Pourquoi notre monde, notre réalité (le "monde sensible") peut-il être laid ? Pour Platon, le monde des idées et l’Olympe ne peuvent être que parfaits. Notre réalité est imparfaite car ce n’est qu’une imitation du monde des idées 2. Qu'est-ce qui oppose radicalement l'idée de Platon et la vision "pancaliste" du monde (expliquée dans les 2e et 3e paragraphes) par l'Église ? Pour Platon, le monde était quelque chose de laid et imparfait, une imitation du monde parfait des idées. L’Église, au contraire, parle d’un monde parfait, puisque c’est une oeuvre divine et donc ne peut être que parfait. 3. En quoi, selon Saint Augustin, la laideur contribue-t-elle à l'ordre ? Selon Saint Agustin, la laideur est nécessaire car, si les choses laides n’existaient pas, il y aurait du désordre car les choses belles ne pourraient pas les substituer. Pour lui, il y a des laideurs nécéssaires au fonctionnement du système 4. Quelles sont les trois qualités qui rendent les choses belles ? La mesure, la force et l’ordre 5. Comment Saint Augustin démontre-t-il que les choses que l'on dit généralement laides sont en fait belles ? Saint Augustin défend l’idée que tout, puisque c’est des créations divines, est beau. 6. Qu'est-ce qui sauverait "les monstres" de la condamnation à la laideur, et donc au rejet, selon Saint Augustin ? La seule condition pour qu’ils soient sauvés est de considérer, et à juste tire, qu'ils ont une ascendance divine : ils seraient donc parfaits. 1. Qu'est-ce qui ne peut être que parfait pour Platon ? Pourquoi notre monde, notre réalité (le "monde sensible") peut-il être laid ? 2. Qu'est-ce qui oppose radicalement l'idée de Platon et la vision "pancaliste" du monde (expliquée dans les 2e et 3e paragraphes) par l'Église ? 4. Quelles sont les trois qualités qui rendent les choses belles ? 5. Comment Saint Augustin démontre-t-il que les choses que l'on dit généralement laides sont en fait belles ? Document 4 : 6. Qu'est-ce qui sauverait "les monstres" de la condamnation à la laideur, et donc au rejet, selon Saint Augustin ? |
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