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Étude de la narration dans Zazie

RÉPONSES DES 1ÈRE S2



1.     Comment interpréter l’épigraphe (la phrase qui est en « introduction » du roman, avant le premier chapitre)une fois le roman terminé ?

Queneau ne crée un monde et des personnages romanesques qu’en les détruisant : il enlève l’identité des monuments et des personnages afin de signaler intentionnellement leur impossibilité d’exister. Une des versions de l’épigraphe grecque traduit cette modalité conflictuelle du roman : « C’est celui qui l’avait fait qui l’a fait disparaître » De même que l’identité sexuelle de Gabriel qui est toujours énigmatique et qui échappe à toute les tentatives de fixation. Aussi, ce qu’illustre le dialogue de Zazie et de sa mère :

–Alors tu t’es bien amusée ?

–Comme ça.    

–T’as vu le métro ?

–Non.

–Alors, qu’est-ce que t’as fait ?

–J’ai vieilli.

Zazie après tout son voyage répond simplement qu'elle a vieilli.(Vicent.D)


Très bien !


L'épigramme avant le premier chapitre veut dire: " C'est celui qui l'avait fait qui l'a fait disparaître. " Le texte cité provient en effet de Strabon, géographe grec, qui dans sa Géographie, cite Aristote, ce dernier faisant référence à Homère.

Cet épigramme est un signe savant et moqueur, un encouragement à gratter le texte, comme on peut le voir dans le film, avec la scène où Zazie trouve une perle dans une moule et la jette aussitôt. Le sens des deux mots, extraits de leur contexte, serait « Il l’a créé ; il le détruit ».

Louis Malle a peut-être trouvé un moyen d’évoquer cette épigraphe en filmant un bâtiment imposant construit en un temps record dans le cadre de la prévention de la guerre, et détruit tout aussi vite. (Mariola)



L’épigramme utilisé dans Zazie dans le métro est une citation d’Aristote qui peut être traduite comme ‘’Celui qui a composé a supprimé’’ou ‘’C’est celui qui l’avait fait qui l’a fait disparaître’’. Cette citation peut en effet expliquer d’une certaine manière le séjour de Zazie à Paris, circulaire, voire même banal pour l’évolution interne des autres personnages et de Zazie elle même. De plus, l’oeuvre commence par le ‘’prêt de l’objet’’ (qui est donc Zazie) de la part de Jeanne Lalochère, la mère de Zazie, et se conclut de la même manière par la recueillie de Zazie par le même personnage, sa mère. Nous pouvons donc dire que dans ce cas, celui qui a ‘’fait apparaître’’ et ‘’fait disparaître’’ Zazie est sa mère, Jeanne Lalochère.(Sergio B.)





2.     Comparez le début et la fin du roman. Qu’en déduisez-vous sur sa structure ?


La structure apparaît essentiellement géométrique,s’ouvrant et se refermant sur une gare,l’oeuvre présente une circularité indéniable. Mais il y a plus, la clef pourrait bien se trouver dans cette figure de l’inversion sexuelle appréhendée par le regard de Zazie. Le roman qui constitue la parenthèse parisienne de la jeune provinciale présente un oncle et une tante qui se révèleront interchangeables.Nous sommes donc en présence d’un couple symétrique où le passage du masculin au féminin et inversement se joue  dans l’ajout et la suppression d’un simple suffixe:Gabriel deviendra Gabrielle et Marceline Marcel.Ce jeu simple en apparence se révèle bien plus complexe lorsqu’on regarde le cas de chacun des personnages.C’est alors que se révèle une dissymétrie au sein même de la structure de l’oeuvre,dissymétrie propre à susciter la réflexion du lecteur.  (Andrea Martínez)


Pour le lecteur, l'intérêt semble d'abord de savoir si Zazie prendra le métro ou pas. Finalement, cette trame semble être un prétexte puisqu’on ne voit que l'enchaînement d'actions banales et en grande partie hasardeuses, qui caractérisent la vie quotidienne : on prévoit de prendre le métro, mais il y a grève et il arrive alors tout ce qui n’était pas prévu. L'homosexualité de Gabriel est à nouveau remise en question au dernier chapitre, où Marceline serait un homme, celui qui ramène Zazie à la gare, c'est-à-dire Marcel. La structure est donc un cercle qui débute et finit au même lieu. (Luz)



Nous pouvons observer, que le roman a une structure circulaire, il commence à la gare, lors de la rencontre entre Zazie, Gabriel et Jeanne Lalochère, et à la fin ils reviennent à la gare pour recueillir Zazie. De même, à part cette structure circulaire, il y a aussi une inversion sexuelle. Il y a donc aussi une structure symétrique dans le thème de la sexualité, masculin au féminin et inversement ( Gabriel sera Gabriela et Marceline, Marcel). La structure est donc la même au début et à la fin.(Camilia)


Il y a un jeu en apparence sexuelle (Grabriel et Marceline) qui révèle une dissymétrie au sein même de la strcuture de l’oeuvre, une dissymétrie propre à susciter la réflexion du lecteur. Cette dissymétrie des jeux d’inversion apparaît symptomatiquement à l’échelle du roman tout entier où l’inversion géometrique du cercle en ligne droite récurrente (la ligne droite devient zigzag). (Nerea)


On pourrait dire que la structure de cette oeuvre est symetrique ou circulaire . L’oeuvre commence a la gare et finit a la gare. De plus on observe une échange de genre masculin a feminin dans le cas de Gabriel et au contraire dans le cas de Marceline ce qui nous montre un structure symetrique.(alvaro)




La structure de cette œuvre est circulaire, géométrique. Elle s’ouvre et se referme sur la même gare (la gare d’Austerlitz). On peut constater que cette circularité nous montre, à la fin de l’œuvre, que le personnage principal, Zazie n’a pas évolué du tout, malgré le passage du temps. En fait, c’est un personnage caractérisé par l’immobilité.                                                                                                                                                                                                                                              Un autre élément de cette circularité serait le couple symétrique formé par Gabriel et Marceline. Gabriel peut se transformer en Gabrielle dans l’œuvre et vice-versa. Par exemple, à la fin de l’œuvre, on assiste à une transformation de « Marceline » en « Marcel », personnage qui emmènera Zazie sur cette gare avant mentionnée.  (Patricia)


Zazie dans le métro est un roman circulaire (de la gare d’Austerlitz à la gare d’Austerlitz). Queneau a decider d’utiliser cette structure pour montrer le manque d’évolution des personnages, ils sont immobiles. Avec ce roman il veut juste divertir les lecteurs. Pour insister sur la structure circulaire il a créé des personnages qui sont capables d’échanger de rôle, comme c’est le cas de Gabriel et Marceline (Esmeralda)


3.     Quels personnages pourraient être des masques du romancier lui-même ?


Gabriel est un des personnages principales qui pourrait être un des masques de l´auteur de ce roman. On peut le constater car on remarque qu´il change de langage, il passe d´un langage “vulgaire” à un langage plus soutenue. Ainsi ce sont les paroles de l´auteur qui sont transmises par Gabriel. (Lucía)


Nous pouvons reconnaître l’auteur lui-même derrière son personnage Gabriel. On le voit dans les changements de langage tenus par le personnage, qui, dans une même réplique, peut utiliser un niveau de langue familier et ensuite un niveau de langue soutenu. Cet aspect fait une claire référence à Queneau, qui écrit cette oeuvre pour défendre le “néo-français”, mais qui utilise aussi un langage littéraire beaucoup plus culte propre aux auteurs de l’époque. Nous voyons aussi que Gabriel est un masque du romancier lui-même lorsque celui-ci déclare: « N’oubliez pas l’art tout de même. Y a pas que la rigolade, y a aussi l’art. ». Queneau fait de Zazie dans le métro, une vrai oeuvre d’art grâce au langage utilisé, mais en faisant rire le lecteur tout au long du roman. (Inés) Bravo !


Les personnages étant creux, nous n’y pouvons pas y attribuer une personnalité, mais certains possèdent des caractéristiques ou réalisent des gestes qui semblent à ce que pourrait avoir ou faire Queneau. Le narrateur est celui qui transmet les idées de Queneau à travers le mélange du langage et des registres: le “néo français” est le plus utilisé, mais le “français comme langue morte” est toujours présent et parfois utilisé, même s’il est hors de contexte. Cette habitude de Queneau est présente dans les paroles du narrateur et dans celles de Gabriel, qui semblerait intellectuel (ou au moins le prétendrait), pour représenter le français “non-parlé”; et à la fois serait ordinaire, amusant et pratique, tout comme le français parlé. De plus, pour accentuer la mixité et le contraste de langage, Queneau fait de Gabriel un personnage à sexualité douteuse. Si Queneau devait donc se trouver derrière un personnage, ce serait derrière Gabriel, car il est celui qui représente le mieux la présence des deux langages, l’intellectuel de Queneau (falsifié pour donner un effet comique) et à la fois la vulgarité de la vie réelle, comme on voit dans la célèbre réplique de Gabriel qui ouvre l’oeuvre: “Doukipudonkan”. (Fernando)


4. Le point de vue narratif est-il toujours clair ? (Au besoin, révisez ce que sont les points de vue narratifs : voir sur mon site, onglet 3e, fiche de révision 2, ou dans votre manuel, fiche 15 p.472)  


Le point de vue narratif n’est pas toujours clair, le narrateur semble être spectateur de la scène en tout moment. La description des personnages n’est pas très complète, les évocations du passé sont racontées par les personnages lors des dialogues. Mais je dirais qu’il est omniscient, il précise les pensées des personnages de manière objective..  (Marta Vazquez)


Le point de vue du narrateur n’est pas toujours clair, parfois on a l’impression qu’il est un narrateur externe à la troisième personne et qu’il ne décrit que ce qu’il voit car il ne dit rien sur les pensées et sentiments des personnages, et d’autres fois il agit comme un narrateur omniscient qui sait tout sur les personnages, ses pensées, son passé… (Guillem Tomás)


Le point de vue du  narrateur n’est pas toujours clair. Le narrateur se montre parfois un narrateur externe a la 3ème personne mais on dirait que c’est un personnage de l’oeuvre, mais, au contraire, parfois el connait le passé des personnage et ses pensées ou sentiment. Defois, il se montre indécis, comme par exemple quand il dit: “Gabriel ne répondez pas. Maintenant il dit”, c’est peut être un effet surréaliste de l’auteur pour le rendre comique. (Georges)


Le point de vue du narrateur n’est pas toujours clair. Le narrateur est omniscient, il connait les sentiments de personnages et son histoire (Jenne lalochère = Jeanne la branleuse). Dans certaines scènes le narrateur raconte ce qu’il voit de façon totalement objective à la troisiéme personne, ce qui ferait un narrateur externe.

    C’est cet effet de camera qui nous transmet ce narrateur qui peut confondre le lecteur


RÉPONSES DES 1ère S3

1.     Comment interpréter l’épigraphe (la phrase qui est en « introduction » du roman, avant le premier chapitre) une fois le roman terminé ? (de Alfageme à Davis)


ό πλάσας ήφάνισεν  ->    Celui qui là même qui, l’ayant fait d’abord, détruisit ensuite ( Audrey et Louise)


Zazie dans le métro l'oeuvre audacieuse de Raymond Queneau a pris 15 ans à s’achever. Nous retrouvons dans ce roman l'influence que les surréalistes lui ont portés ainsi que son goût de provoquer  la révolte envers ses lecteurs. Il participa à un nouveau "mouvement" de son époque, celui de mettre en  pratique l'écriture automatique et le culte de l'onirisme (=écriture à l'état de veille). De là Zazie est considérée par certains comme "la simple écriture d'un rêve éveillé". Le thème principal est sans aucun doute celui de l'identité des personnages qui est depuis le début remis en question et exposé grâce à l'évolution des personnages ou bien la double identité souvent utilisé démontrant ainsi le manque de personnalité. Certains personnages ne possèdent ni même un nom fixe ou un rôle déterminé.  Malgré tout, le   monde fictif reste une illusion, et l’auteur peut à tout moment intervenir.  De là cet épigramme du philosophe grec Aristote nous produisant de la confusion dès le début du roman. Nous avons trouvés deux traductions de celui-ci la première cité ci-dessus puis celle-ci: "Celui qui l’a créé l’a fait disparaître". Dans les deux cas une fois le roman terminé nous pouvons faire la relation entre la création des personnages ou des "créatures" suivi de la destruction/disparition de l'identité d'elles mêmes. Pour finir nous exposerons une hypothèse: le mot "créature" est peut être ici utilisé pour faire référence au fait que sans personnalité les personnages ne sont pas considérés comme personnes à part entière selon Raymond Queneau.

(Louise et Audrey )



L’épigraphe du roman est une citation du philosophe grec Arisotote, ό “πλάσας ήφάνισεν” qui, traduite signifie plus ou moins: Il l'a créé, puis l'a fait disparaître. Cette citation nous renvoie sur une des caractéristiques principales du roman: les personnages “vides”. Les personnages n’ont aucune charge psychologique, ni l’obtiennent au fur et à mesure que le roman avance. Ce sont de simples mannequins avec des étiquettes, leurs noms, qui nous permettent de les distinguer les uns des autres. On peut de ce fait interpréter l’épigraphe comme la mise en évidence que l’auteur peut insérer et retirer des personnages, sans éxagèrer bien sur, de l’oeuvre sans que ceci n’affecte l’oeuvre, dû à ce manque de psychologie. L’auteur crée des personnages, puis les fait disparaître, sans psychologie, les personnages ne sont donc pas caractérisés par eux-mêmes mais sont des simples créations de l’auteur, qu’il peut tout simplement détruire et avec lesquelles il peut jouer.  Dans l’adaptation cinématographique du roman, Louis Malle a peut-être trouvé un moyen d’évoquer cette épigraphe en filmant un bâtiment imposant construit en un temps record dans le cadre de la prévention de la guerre, et détruit tout aussi vite… (Davis)




ό πλάσας ήφάνισεν, qui traduit du grec ancien signifie « En tant que créatures qu'il avait détruit »

L’auteur, pendant toute l’oeuvre, essaye de jouer avec l’aspect psychologique des personnages, en s'appuyant sur son manque de personnalités qui ne sont pas marquées des le début du roman . Et pour cause, c’est ce double jeu qui explique l’évolution des personnages et du roman, qui perdent leur identité et la recouvrent peu à peu, cette duplicité oblige les personnages à se constituer au fur et à mesure du roman. Une incertitude est alors entretenue par Queneau, qui aime les malentendus et fait que nous nous posions des questions sur les caractères des personnages. (Carles Alfageme et Mario Bacete)



L’existence de l’être est un thème touché pendant toute la pièce. Ces personnages ont des sentiments? se sont des espèces de robots tous pareils qui vont donner l’incertitude pendant toute l’oeuvre marqué par son manque d’épaisseur psychologique. Cet épigraphe renvoie au doute de l’identité. Ces créatures désignent les personnages, et la destruction de la destruction de son identité comme celui de la création des indentités. (Ana)



2.     Comparez le début et la fin du roman. Qu’en déduisez-vous sur sa structure ? (D’Escoms à Loran)


Le temps qui s’est déroulé entre le début et la fin n’est qu’une succession d’événements qui n’a pas eu sens car durant toute l’histoire Zazie n’a même pas atteint son but, aller visiter le métro. Prenons la réplique de la jeune fille à la fin du livre, “ j’ai vieilli “ ce qui démontre que tout ce qui s’est passé durant sa visite à Paris n’a servi à rien. Mais attention, vieillir ne veut pas dire grandir! Zazie ne se rend pas compte de la vie qui se déroule et cette dernière ne la contrôle pas. Zazie à la fin de sa visite, comme au début, elle se retrouve à la gare comme si rien ne s’était passé. Par rapport à la structure, la fin du roman comporte beaucoup de répliques courtes, alors qu’au début le narrateur nous raconte la scène avec des longs paragraphes. (Réponse de Léo Loran, Ausias et Escoms sont d’accord avec Leo.)


3. Le point de vue narratif est-il toujours clair ? (Au besoin, révisez ce que sont les points de vue narratifs : voir sur mon site, onglet 3e, fiche de révision 2)  (De Hedilla à Pellicer)


Tout d’abord, dans le film nous pouvons remarquer qu’il y a de nombreuses ellipses narratives puisque ce n’est pas possible de représenter tout se qui se passe dans le livre. Le narrateur ne fait pas partie dans l’histoire, son seul rôle est de présenter la vie des personnages. Son intervention extérieure permet le franchissement des différents type de langages. Parfois on peut confondre la focalisation zéro avec la focalisation interne dans le récit, malgré cette possible confusion cela contribue au dynamisme de l’histoire. ( manuela)


Le point de vue narratif est omniscient et le narrateur s’exprime à la 3º personne, par contre il y a beaucoups de dialogues (quelques uns même semblant être artificiels) qui permettent de mieux suivre le déroulement des actions. Par contre le narrateur ne s’efface pas complétement derrière sont propos car il reprend des expressions et le même vocabulaire des personnages. De plus il y aune focalisation progressive sur Gabriel : premièrement ils regardent le train arriver et plus tard c’est Gabriel lui seul qui regarde. (María Nebot)


4.     Quels personnages pourraient être des masques du romancier lui-même ? (De Penades à Torregrosa)


C’est drôle que vous soyez autant focalisés sur Jeanne Lalochère… Je pense que la meilleure réponse aurait été Zazie. D’ailleurs, à la fin du livre, Queneau a failli écrire, à la place de “j’ai vieilli”, “j’ai écrit un roman”. Elle est le personnage que l’on suit le plus, celui aussi qui semble avoir le plus de recul avec ce qui se passe d’étrange autour d’elle : elle n’arrête pas de poser des questions. On aurait pu répondre, de même, que Gabriel ressemble le plus à l’auteur : il s’exprime comme les personnages mais apprécie la culture, emploie parfois le registre soutenu. (M. Trumel)


Le personnage de Jeanne Lalochère pourrait faire référence à la femme qui a élevé Queneau puisqu’elles ont le même prénom. La mère de Zazie est la seule mère qui apparaît dans toute l’histoire et c’est un des rares personnages qui ont un prénom et un nom. Ce personnage pourrait être aussi une référence à un personnage historique admiré par Queneau: Jeanne d’Arc. Par contre, son nom définit sa sexualité et nous donne une connotation négative de la mère de Zazie, elle laisse Zazie pour une relation.


Réponse apportée par Laura Pérez


Jeanne Lalochère est la mère de Zazie. Elle apparaît comme un personnage secondaire mais, elle s'avère être un personnage important puisque c’est elle qui déclenche qui la narration. En effet c'est elle qui emmène Zazie à la gare et la laisse à son oncle Gabriel. Jeanne correspond à Jean, les gens ce qui veut dire tout le monde. C’est aussi le prénom de la femme qui à élevé Queneau. C’est la seule mère du roman et un des rares personnages à avoir un nom et un prénom. C’est aussi une référence au personnage historique préférée de Queneau, Jeanne d’Arc. Elle est définie par sa sexualité, elle laisse Zazie pour une relation. Elle apporte de la couleur dans le monde de Paris car elle est vétue de couleur contrairement aux parisiens qui sont dans les tons gris-noir.(Sergio  Torregrosa)


    Certains personnages peuvent être considérées comme des masques du romancier, par exemple Jeanne Lalochère peut faire référence à Jeanne d’arc, de plus elle est une des seules ou des peu personnages à avoir un nom et un prénom. Le nom Gabriel fait appel aux anges, le fait qu’il se transforme en femme au long du livre peut bien faire référence à l’indétermination du sexe des anges. Mado ptits-pieds, le sous-nom ptits-pieds fait référence à son physique, une référence aux grands pieds, comme dans la bilbe avec Marie-madelaine, en effet au début du roman elle est appelée Mado ptits-pieds, mais vers la fin on l’appelle Madeleine,  lorsqu’elle se marie avec Charles c’est comme s’y elle deviendrait complète après ce mariage.   (Mireia Rodríguez)


Certains personnages peuvent ressembler à des masque du romancier: Jeanne Lalochère est la mère de Zazie. En effet, c’est elle qui enmmène Zazie à la gare et la laisse à son oncle Gabril, Jeanne peut faire référence à Jean , les gens, ce qui veut dire tout le monde puisque c’est un personnage secondaire. Mais qui démontre être un personnage important car c’est elle qui déclenche la narration et en plus c’est un des seuls personnages à avoir un nom et un prénom. C’est aussi le prénom de la femme qui à élevé Queneau. C’est aussi une référence historique préférée de Queneau, Jeanne d’Arc. Dès le début, nous pouvons voir qu’elle est définie par sa sexualité car elle laisse Zazie pour une relation. De plus son nom est issu du verbe “locher” qui signifie en patois normand “secouer un arbre pour faire tomber les pommes” donc nous pouvpns déduire son “occupation”.

Un autre personnage peut être Gabriel, c’est le seul personnage à être décrit physiquement. Parfois, on peut douter de sa sexualité car il devient des fois Gabriella. Pour Queneau, l’ambiguité sexuelle de Gabriel renvoie à l’indétermination du sexe des anges, il a un prénom d’archange.C’est lui l’oncle de Zazie, le protecteur et l’ange gardien du récit. (Nuria Sanchís)


Jeanne Lalochère est l’un des premiers personnages du roman. Elle est la mère du personnage principale: Zazie. Son prénom à pu être utiliser pour ce personnage car la mère de l’auteur s’appelait aussi Jeanne. Ce prénom aurait aussi pu etre inspirer du nom de Jeanne D’Arc, qui était le personnage historique préférer de Queneau.

Son nom de famille (Lalochère) est tirée du verbe locher qui veut dire plus vulgairement secouer (un arbre). Lochère peut aussi signifier plus vulgairement branleuse. Ceci nous donne quelques informations sur le caractère du personnage (sexuel). Cela est confirmée par le fait qu’elle abandonne Zazie pour retrouver son amant. (Florent)


Quelques personnages pourraient être masque su romancier. En premier lieu, nous avons Gabriel, son prénom fait référence au archange Gabriel, l’ange protecteur. Ce qui nous fait avoir un personnage avec une figure protectrice mais à la fois affectueuse. Le long du roman, ces caractéristiques nous font douter de la sexualité du personnage. L’un des premiers personnages qui apparaissent dans le roman est Jeanne Lalochère, nous avons d’elle une figure maternelle car elle est la mère de Zazie, par contre son nom a une connotation sexuelle. Queneau se décide par le prénoms Jeanne car c’est le prénom de la femme qui la élevé. Ici nous voyons aussi un personnage double: à la fois maman mais aussi putain. (Erika Suria)


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